jeudi 6 décembre 2012

Article 3 - Le coeur du blog !

Dans le cas d’un séisme, bien que le fonctionnement de celui-ci soit important, plusieurs autres facteurs influencent grandement l’impact du tremblement de terre sur la population et le territoire touchés. Dans l’article qui suit, les facteurs de vulnérabilité, les conséquences environnementales et humaines seront traitées ainsi qu’une analyse des interventions d’urgences et des conséquences géopolitiques du séisme en Turquie de 1999.
 En premier lieu, cet article traitera des facteurs de vulnérabilité du séisme qui a touché la région de Marmara le 17 août 1999 à 3h09 le matin. Je vous rappelle que ce tremblement de terre a atteint 7.8 de magnitude sur l’échelle de Richter et qu’il a pris la vie à environ 15 000 personnes. À cette époque, la densité de la population en Turquie était d’environ 62 000 000 personnes. Après la catastrophe, près de 34 000 personnes sont disparues et il estim
e 12 000 décès par la suite. De plus, le niveau économique de la région était très faible dû à une récession économique causé par l’effondrement du marché russe. Par contre, les autorités n’avaient aucunement l’intention de préparer la population à un éventuel tremblement de terre. De plus, le gouvernement n’avait jamais avertie la population que leur pays vivait sur un plateau anatolien. Bien que les tremblements de terre sont fréquent dans cette région, la population n’était pas préparer à en recevoir un aussi dévastateur. Les scientifiques savaient qu'ils allaient y avoir un grand séisme dans cette région, mais le gouvernement turc a décidé de ne rien faire pour préparer la population à l’éventuel catastrophe. Dans le même ordre d’idées, les autorités avait mal envisagés la force du séisme ou du moins avait mal préparé leur méthode de secours. Cela se remarque facilement par le nombre de mort qu’a causé le tremblement de terre, mais aussi par le temps que le gouvernement et les autorités Turcs ont mis avant d’intervenir et d’aider les leur. De plus, La Turquie est non seulement une puissance agricole qui produit toute sorte de plantes, mais de plus, elle est le premier producteur européen de laine et de coton. Son passé est notamment historique, car depuis que l’être humain existe, ses terres sont habitées. Le pays possède d’ailleurs plusieurs ressources énergétiques, richesses minières et réserves pétrolières. 





Deuxièmement, les conséquences environnementales et humaines sont aussi un point important de cet article. D’abord, L’industrie pétrolière du pays a grandement été touchée, ce qui a affecté les marchés locaux en grande partie, mais très peu les marchés mondiaux. La Turquie possède du moins d’excellentes réserve de pétrole, cependant, elle n’en abrite pas assez pour être considérer comme exportateur mondial important. D’autres parts, les secours ont eu de la difficulté à venir en aide aux villes les plus touchés, car les moyens de transport ont été détruits lors du tremblement de terre. Les automobiles ne pouvaient donc plus circuler car les routes, les autoroutes ainsi que les ponts ont été gravement endommagées. De plus les voies ferrées ont aussi été démolies, alors la circulation ferroviaire a été suspendue pendant un court délai. De plus, le coût des dégâts causé par le tremblement de terre est estimé à environ 1.3 milliard de dollars pour les logements détruits. Lors de cette catastrophe, environ 50% des immeubles se sont complètement effondrés dont plusieurs bâtiments scolaire, hôpitaux et autres établissement commercial ou gouvernemental. Aussi, une des priorités des secours fut de rétablir l’eau potable dans les plus brefs délais, par contre, le problème fut régler 6 mois après la catastrophe. Cela a également engendré des coûts d’environ six millions de dollars. Deux millions de dollars leurs a été fourni dans le but de les aider à diminuer le coût de cette facture assez élevée. De plus, vu les innombrables dommages les médecins doivent soigner les blessés dans la cours de l’hôpital d’Izmit car celle-ci était réellement trop abîmer pour qu’il puisse y procéder à l’intérieur. Dans un autre ordre d’idée, l’eau de la mer à elle aussi été contaminée, par contre ce fut par un déversement de produits chimique provenant d’une usine. Selon une étude scientifique, environ 3 à 4 mg d’acrylonitrile ont été introduit dans les eaux marines. D’autres étude démontrent cette pollution dans l’eau de mer aura un impact futur sur la santé des humains causé par les aliments contaminés et consommés par la suite.











Finalement, l’analyse des interventions d’urgences et des conséquences géopolitiques sera aussi traitée dans ce texte. Premièrement, La réaction du gouvernement a grandement été critiquer, vu son interminable délais face à la crise. Le premier ministre se justifie en disant que les infrastructures gouvernementales ont été endommagées pendant le sinistre. De plus, il ajoute que les deux grands obstacles que le gouvernement a rencontrés sont effectivement les moyens de transport et la communication. Alors sans le vouloir, il confirme que les secours sont arrivés avec un délai aussi tardif, en raison d’une grande vulnérabilité des infrastructures contrairement aux normes établies. Ensuite, le plan d’urgence fut un échec, il manquait d’organisation. Les autorités n’avaient alors aucune volonté de prévenir les habitants à un éventuel tremblement de terre. Par contre, les sauvetages se sont bien dérouler en majeur parti, plusieurs personnes ont été retrouvées dans les décombres. Bien qu’ils y aient eu beaucoup de mort, les secours sont arrivés rapidement. Par contre la situation aurait pu être différente si le plan de secours avait été mis en place avant la catastrophe et que les autorités aient prévenu la population à l’avance aussi plutôt que de sous-estimer la force du tremblement de terre comme il l’on fait. Un hébergement a été fourni aux sinistrés, aussi du matériel de survie a été mis à disposition de la population, comme des tentes pour l'hiver, des sacs de couchages ainsi des couvertures par les pays du CPEA. Dans les jours qui suivent, les autorités turques ont fait rétablir l'eau, l'électricité et ont réparé une partie des routes endommagées par le séisme. La Syrie qui est en fait l’ennemie juré de la Turquie est toutefois demeurée silencieuse à la suite de ce tragique évènement. Elle n’a donc pas proposé son aide, la situation entre les deux pays n’a alors pas changé. En fait, les pays européens sont les premiers à offrir leur aide. On peut alors constater que la Turquie commence à se créer une place à travers l’Europe. Dans les 24 heures suivant le séisme, 21 pays faisant partie de l’aide humanitaire sont venu secourir le pays ébranlé. Leur plus grande priorité, fut de libérer les victimes prisent sous les décombres, car généralement les chances de survie dans une telle situation sont grandement réduite après 72 heures, voir même impossible, la Turquie demandais aussi l’aide de secouriste en premier lieu. L’aide internationale apporte des ressources de niveau humain, par exemple de l’aide médicale et l’assistance technique. De plus, les États-Unis et l’Israël ont notamment offert leur aide pour le nettoyage et la reconstruction des lieux. La Turquie a désormais mis sur pied une charte visant à améliorer les structures antisismiques. Par contre, cette charte n’est pas reconnue mondialement, mais il s’agit néanmoins d’un pas de plus pour que cette dernière soit finalement mieux préparer en cas d’une autre catastrophe dévastatrice comme cette dernière. 



En conclusion, la Turquie a vécu un gros séisme et beaucoup de dommages supplémentaires, qui auraient pu être évité si elle avait été mieux organisée. Par contre, les autorités ont bien réagit à la situation, sur le coup 34 000 personnes ont été porté disparue et en conclusion seulement 12 000 sont décédés. Dans de telles circonstances, les secours ont été efficaces et ont repris la situation en main. Par contre, si la Turquies aurait bien été préparée, la situation aurait été grandement différente, beaucoup de vie auraient pu être sauvées ainsi que plusieurs dommages évités. Bien que les catastrophes naturelles qui touchent ce monde font régulièrement les manchettes et qu’elles sont un bon sujet de discutions, nous devons quand même avouer qu’il ne s’agit pas d’une situation agréable pour les pays touchés. Même s’il est impossible d’éviter les catastrophes naturelles qui s’acharnent sur notre planète, nous pouvons toujours espérer qu’ils ne s’en produisent pas un trop grand nombre dans les années à venir. En fait, pour être plus réaliste, nous devrions espérer que les pays touchées soient mieux préparer avec les années et que les dommages soient moins grands. Je vous demande aussi de penser fortement à tous ces habitants qui se retrouvent sans maison après un aussi grand ravage car il s’agit d’une situation terriblement difficile et les gens doivent être très courageux pour réussir à surmonter une telle épreuve.



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